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Mon matériel photo au fil du temps…

1995-2022


F601

Nikon F 601

J’en ai fait l’acquisition en 1995, date de mes débuts en photographie naturaliste et documentaire et je l’ai depuis maintenant 12 ans !.

Il est de plus en plus difficile de s’y retrouver dans la terrible jungle des appareils photo, entre anciens et nouveaux formats, argentique et numérique, autofocus, multizones, boutons partout, écrans à cristaux liquides, puces, voyants lumineux et bruitages divers…
Je vais tenter d’éclairer ce sujet de ma modeste lumière, tout en me focalisant sur l’appareil que je possède : le Nikon F601.

“Zoomons” donc sur cet appareil, qui n’est déjà plus un top modèle, mais qui représente encore aujourd’hui, de mon point de vue, un bon compromis en termes de performances, qualité, et prix. Son prix est d’autant moins élevé que si vous l’achetez, ce sera d’occasion, car au rayon neuf il n’est plus en magasin. Personnellement, je pense qu’on peut faire de très bonnes photos avec cet appareil, et j’en suis satisfait, sauf quand il fait un bruit de rasoir électrique en rembobinant un film, ou lorsque le froid fait faiblir les piles (mais ça, c’est le problème de tous les appareils actuels à autofocus et moteur).

Gros plan sur la technique :

Le F601 ressemble au F801 (qui peut être aussi une bonne affaire), en un peu moins performant : l’autofocus du F801 est plus rapide, son obturateur aussi, et son viseur est paraît-il meilleur. Sinon, le F601 possède toutes les fonctions principales des boîtiers 24×36 reflex actuels : autofocus débrayable, modes automatiques (priorité à l’ouverture ou à la vitesse) et manuel (ou « semi-auto », c’est kif-kif), mesures multizones, pondérée et spot, mémorisation de la mise au point et de la mesure d’exposition, flash intégré, moteur d’avancement du film… Il possède aussi des fonctions avancées, comme la synchro flash au deuxième rideau (ça vous en bouche un coin, non ?). 

Alors, que lui manque-t-il ? Pas grand-chose, à mon avis, sauf un bouton de test de la profondeur de champ (un réel problème pour moi en photographie macro, GLB), et la possibilité de fonctionner sans pile. Pour le reste, tout dépend de l’utilisation qu’on veut en faire : pour les architectes, il manquera le verre de visée interchangeable Les débutants regretteront l’absence de modes pré-programmés (« paysage », « portrait », etc.). Pour les photographes sportifs, l’autofocus sera trop lent.

Recadrage philosophique :

Zoomons arrière maintenant, pour recadrer le sujet de cet avis sur le choix d’un appareil photo en général, autrement dit sur la philosophie du photographe.

On peut aimer les gadgets, les appareils photo boutonneux, parasités de puces, qui bientôt cadreront et déclencheront tout seuls. Les puristes vous diront que ces joujoux, comme toutes les merveilles générées par les progrès de l’électronique et de l’informatique, sont dépassés dès que vous avez franchi le seuil du magasin après l’achat, et qu’à l’inverse, des appareils anciens, comme le Nikon FM2 ou le mythique Leica M6, sont indémodables. C’est une question de sensibilité… C’est aussi une question d’utilisation : on ne choisit pas forcément le même appareil pour le reportage que pour le paysage, pour la photo souvenir ou la diapo, pour apprendre la photo ou pour être publié dans les magazines.

Pour partir en expédition dans le désert ou au pôle Nord, rien ne vaut un bon vieil appareil robuste, tout en métal et mécanique, pouvant encaisser les écarts de température, les chocs, et capable de fonctionner sans pile. Mais pour réussir un maximum de photos dans des conditions normales, il vaut mieux choisir un appareil avec mesure multizones, flash intégré, autofocus.

L’appareil idéal est donc différent pour chacun. Pour moi, ce serait un appareil « à l’ancienne », avec armement manuel et manivelle (quelqu’un peut m’expliquer l’avantage du rembobinage de la pelloche par le moteur ?), mais avec le confort moderne (flash intégré, mode auto avec priorité au diaphragme, mesures multizones et spot) et sans l’autofocus. Cet appareil, bien sûr, n’existe pas (sniff, sniff).

Soyons objectifs :
Un point très important qu’il ne faut pas perdre de vue, c’est que dans le domaine des appareils 24×36 à objectifs interchangeables, l’essentiel n’est pas le boîtier mais la gamme d’objectifs, surtout avec une gamme pléthorique comme celle proposée par Nikon. Avec un bon objectif (et un bon photographe), l’image sera bonne, quel que soit le boîtier, à condition toutefois que ce boîtier soit fiable et qu’il ne donne pas des photos sur ou sous exposées par manque de précision de la cellule ou de l’obturateur.

Dernière mise au point :

Le F601 n’est ni un appareil basique ni haut de gamme, ce n’est ni spécialement un appareil de débutant ni forcément « de pro », il n’est pas le plus compact et léger ni le plus gros et lourd, il n’est fait ni pour les fous de technologie ni pour les intégristes. C’est plutôt un compromis, mais un bon compromis, car il est ergonomique (pas de boutons partout), assez performant (sauf exigences particulières), et fiable. Il peut donc représenter une bonne occasion pour adopter le système Nikon et sa gamme d’objectifs.

Source : http://www.ciao.fr/

En service intensif pendant 12,5 ans

2005


A95

Canon PowerShot A95

Je m’en suis séparé pour acheter le A620 en 2006.

Capteur CCD 5 mégapixels (1/1.8′) Zoom 4x (38 – 114mm, F2.8 – F4.9) 

Le A95 est le digne successeur du précédent A80, un Best Seller reconnu par tous comme l’un des meilleurs compacts jamais sorti. Canon ne démérite pas avec ce nouveau modèle. C’est tout simplement un A80 en encore mieux : plus rapide, plus précis, doté d’un zoom un peu plus gros, d’un plus grand écran LCD et… moins cher ! C’est donc à coup sur l’un des succès de l’année à venir. 

Tout n’est pourtant pas encore parfait. L’appareil a été un peu accéléré, mais il reste 5 % plus lent que la moyenne. C’est là son plus gros défaut. Il nécessite toujours 2,4 secondes à la mise sous tension quand d’autres se contentent de 0,9 sec. L’autre défaut : sous prétexte que l’écran est fixé au bout d’un bras articulé, et donc apte à se tourner dans tous les sens, Canon a opté pour une dalle de piètre qualité aux angles de vision extrêmement réduits. Il faut vraiment être pile en face pour y voir quelque chose. 

Passé ces deux mauvaises surprises, on est enchantés du reste. La balance des blancs automatique restitue de superbes couleurs en intérieur comme en extérieur, le piqué des photos est très supérieur à la moyenne des autres 5 mégapixels, l’exposition est parfaite.

Source : http://www.lesnumeriques.com/

2006


Canon PowerShot A620

A620

Je l’ai acheté en 2006 en remplacement du A95, dont j’avais cassé l’écran.

Capteur CCD 7 mégapixels (1/1.8 ») Zoom 4x (35 – 140 mm, F2.8 – F4.1)

Le A620 fait désormais partie de l’avant dernière gamme. il est censé avoir été remplacé par les A530, A540 et A700. Un peu plus compacts, ces appareils ont hélas perdu au passage l’un des points forts du A620 : son écran LCD rotatif.

C’est la tradition, tous les étés Canon lance ses nouvelles gammes d’appareils photo. Exit donc le Best Seller PowerShot A95, il cède sa place au PowerShot A620 qui bien sûr fait tout mieux que le précédent. Le capteur passe à 7 mégapixels (3072 x 2304 pixels), l’écran à 5 cm de diagonale, le zoom gagne en amplitude (4x). Dans le même temps, l’appareil a perdu de l’embonpoint tout en progressant en réactivité. C’est particulièrement frappant à la mise sous tension. Le A620 est disponible en 1,4 seconde. Le A95 en nécessitait une de plus. C’est loin d’être négligeable quand on veut prendre une photo sur le vif. En fait, le passage de 5 à 7 mégapixels ne se ressent que sur les tirages grand format et sur les photos faites au zoom. La combinaison 7 mégapixels + zoom 4x fait qu’on récupère bien plus de détails. Sur papier en revanche, il faut tirer les photos en 20 x 30 cm au moins pour commencer à détecter des différences. Revers de la médaille, les photos pèsent lourd : de 2 à 4 Mo chacune.

Ses photos macro sont magnifiques !

Au delà des chiffres avancés dans les caractéristiques, deux points nous ont particulièrement impressionnés à l’usage sur cet appareil : le mode macro et le mode rafale. Le premier est carrément bluffant ! L’un de nos tests consiste à shooter au plus près une carte graphique en centrant l’image sur un composant qui, en réalité, mesure 3 mm de long. Quand au mode rafale, si votre carte tient la cadence (les cartes lentes risquent de saturer), le sien n’est plus limité que par la taille de la mémoire. Il débite 2 photos par seconde sans s’arrêter. Impressionnant !

Source : http://www.lesnumeriques.com/

Flashs


2000


Nikon SB 29 Flash à anneau

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Je ne l’utilise que pour la “chasse” aux insectes, préférant la lumière naturelle (avec un réflecteur) pour les plantes.

Objectifs


1995


Nikon AF Micro Nikkor 60mm f/2.8D

Micro-Nikkor 60_2-8D

Objectif inégalé, redoutable et polyvalent pour la macrophotographie.

1999


Nikon AF Micro Nikkor 28mm f/2.8D

Micro-Nikkor 28_2-8D

Objectif grand-angulaire parfaitement adapté à la photographie courante. Ses points forts sont :

  1. Objectif grand-angle compact et léger,
  2. Couverture de l’image de 74° (diagonale) pour une extrême souplesse d’utilisation,
  3. Mise au point jusqu’à 0,25m.

2000


Nikon AF Micro Nikkor 50mm f/1.8

Micro-Nikkor 50_1-8

Objectif standard offrant une bonne luminosité et un très bon piqué, très intéressant pour la photographie documentaire.

Film


le meilleur en 50 ISO pour vos paysages et photos naturalistes

Fujifilm 50/18° Color slide / Daylight / E-6 / 35mm

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Petite définition : la Velvia est à l’origine le nom d’une pellicule déclinée uniquement en version 50 ISO.

La Velvia supporte très mal les erreurs d’exposition. C’est pourquoi elle nécessite une certaine habitude. Les passionnés de diapos n’hésitent d’ailleurs pas à conseiller de tester plusieurs pellicules mais de restreindre ensuite son choix sur une ou deux références. 

La Velvia est mon unique choix auquel je suis resté fidèle.

Adepte des photos naturaliste et de paysage, je prends des photos aux contrastes prononcés (tant du point de vue de la luminosité que des couleurs) que la Velvia rend très bien.

Pourtant, de nombreuses photos de paysages sont prises au lever du jour où, au contraire, au coucher du soleil. Malgré les forts contrastes que présentent de tels sujets, la Velvia est un peu limite dans de telles conditions car la lumière est alors trop faible.

J’ai tenté d’utiliser la PROVIA 100 ISO (en gros, les références en matières de diapos en version 100 ISO). Cela m’a permis d’élargir le spectre des scènes “photographiables” mais a contrario, j’ai perdu en rendu des couleurs et des contrastes. Bref, à la clé, beaucoup moins d’émotions. J’ai donc abandonné mes tentatives et suis revenu à la VELVIA 50 ISO quitte à restreindre de fait le choix de mes sujets.

Beaucoup de bruits courent sur le retrait prochain de la VELVIA au grand dam de nombreux professionnels et amateurs éclairés.

Ces rumeurs ne m’ont jamais inquiété jusqu’à la sortie récente d’une VELVIA 100 ISO que je n’ai encore jamais testée. Apparemment la vocation de la VELVIA 100 ISO serait de garder les mêmes caractéristiques que la VELVIA d’origine (50 ISO faut-il le rappeler) en terme de rendu des couleurs et des contrastes mais avec une meilleure tolérance en situations à faible luminosité. Il n’en demeure pas moins que si ce pari est réussi (ce qui reste à démontrer), la suppression de la VELVIA 50 ISO sonnera le glas des pellicules 50 ISO puisque, à ma connaissance, il n’existe aucune autre pellicule de cette sensibilité. Donc à la clé : moins bonne définition de l’image prise.

Il faut dire que la VELVIA 50 ISO coûte dans les 10 € euros et devient très difficile à trouver car elle s’adresse aux professionnels ou amateurs avertis dotés d’un boîtier et d’un objectif de très bonne qualité.

Compte tenu de sa sensibilité au réglage, vous avez 9 chances sur 10 de rater vos photos. Par contre, la 10ème sera exceptionnelle…

A vous de voir.

Source :

2005


Scanner de film diapoPlustek OpticFilm 7200 – Résolution optique : 7200 dpi.

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L’avis de la Fnac :

Le meilleur rapport qualité prix du marché pour ce scanner de film argentique et diapos, et le premier prix dans la gamme de ce type de scanner. Avec sa résolution optique de 7200 dpi et son port USB 2.0 il est néanmoins très performant. Il est livré en standard avec un logiciel (SilverFast) intégrant la technologie SRD, qui permet de supprimer poussières et rayures, et permet d’atténuer une couleur prédominante ou de régler l’exposition suivant la marque des films. Il ne pèse que 1,35 kg pour un encombrement de 27,2 x 12 x 11,9 cm, possède un visualiseur lumineux pour examiner diapos et films et est livré avec une housse de protection.

Mon avis :

Pour 200€ (sachant qu’un scanner de base coûte 4 fois plus chers) je n’ai pas hésité, dans la mesure où il me permet d’exploiter (pour le Web) mes diapositives “Velvia”.

Toutefois, pour les expositions, les publications dans des revues d’associations nature, je fais scanner mes diapositives par un laboratoire professionnel.

Cliché : Fnac.com

04/2008


Boîtiers numérique expert : ma petite révolution

Avril 2008 sera un tournant dans ma pratique de la photo. Par l’acquisition d’un numérique expert et surtout digne successeur du G7, j’annonce l’arrêt futur de l’usage de mon F-601 et de l’argentique (et sa merveilleuse Velvia). Le G9 constituera une transition entre l’argentique et les reflex numériques : le D300 sera pour plus tard…

Canon G9

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Le Canon PowerShot G9 ne révolutionne pas la gamme G, mais apporte d’intéressantes évolutions. Le G9 conserve son boîtier imposant en métal solide et reste relativement lourd. Il évolue toutefois pour offrir une meilleure prise en main. L’interface du compact expert reste très agréable avec un barillet pour définir rapidement la sensibilité de l’appareil, de nombreux raccourcis (dont certains paramétrables) et des menus très clairs. L’optique 35-210 mm est de très bonne qualité, malgré une forte déformation à 35 mm et offre une bonne définition. LePowerShot G9 n’offre toujours pas de grand-angle (un 28 mm par exemple), mais conserve le mode macro 1 cm particulièrement agréable et efficace. La stabilisation optique fonctionne à merveille et permet de gagner pratiquement deux vitesses. Vous apprécierez sans doute l’écran LCD de 3 pouces de bonne qualité (le G9 conserve néanmoins son viseur optique) et la griffe porte. Dans la catégorie des compacts experts (qui reste malheureusement très peu fournie sorti du Ricoh GX100), le Canon PowerShot G9 est l’appareil le plus séduisant et le plus performant du moment.

Points forts :

  • Stabilisation optique performante
  • Optique de qualité, bonne précision des images
  • Appareil globalement très réactif
  • Mode macro 1 cm
  • Mode RAW et RAW+JPEG
  • Bonne colorimétrie en mode neutre
  • Construction robuste et bonne ergonomie
  • Ecran LCD de qualité et de grande taille
  • Griffe porte flash
  • Mode vidéo en 1024 x 768, mais en 15 i/s

Toutefois, la gestion du bruit électronique reste problématique au-delà des 400 ISO fatidiques. Une limite qui marque une nette dégradation de la qualité des images. La concurrence ne fait guère mieux dans ce domaine et le Canon G9 se situe dans une bonne moyenne avec un lissage très modéré des images, un D80 (voir D300) et ces successeurs sera une obligation…

Capteur: CCD 12 mégapixels (1/1,7 pouces)
Zoom: 6x (35-210 mm en eq. 24×36), f/2,8-4,8
Stabilisation optique: oui, par déplacement des lentilles
Mode macro: 1 cm
Viseur: oui, optique avec correcteur dioptrique
Écran: 3 pouces (7,6 cm), 230 000 points (77 000 pixels environ)
Mise au point: détection du visage, manuelle, auto sur 9 points
Mode d’exposition: Auto, PASM, scène, personnalisés
Vitesse d’obturation: 15- 1/2500 s
Mémoire interne/externe: SD,SDHC
Format image: JPEG, RAW, RAW+JPEG
Sensibilité: AUTO, ISO Auto élevé, 80, 100, 200, 400, 800, 1600 ISO
Mode vidéo: 640 x 480 en 30 images/s, 1024 x 768 en 15 i/s, format AVI
Connexion: sortie audio/video, USB 2
Alimentation: accumulateur Li-Ion ENB-2LH avec chargeur, 240 photos (donnée CIPA)
Dimensions/Poids: 106,4 x 71,9 x 42,5 mm / 376 g (avec batterie, carte, sangle)

Cliché : GLB

04/2010


Nikon D700

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Nikon D700

Le D700 vient enrichir la gamme de reflex format FX de Nikon, intégrant des performances et des technologies révolutionnaires dans un boîtier discret. Le capteur CMOS extrêmement sensible de 12,1 millions de pixels offre une plage de sensibilité (étendue) de 200 à 6400 ISO et possède une unité de nettoyage automatique pour l’élimination de la poussière. Son système de traitement de l’image EXPEED permet la capture d’images avec de superbes détails et dégradés jusqu’à 5 vps (8 vps avec la poignée-alimentation MB-D10 et l’accumulateur EN-EL4a optionnels).

Le système perfectionné de reconnaissance de scène offre des possibilités d’exposition supérieures et est compatible avec le système très apprécié AF 51 points de Nikon, qui fournit une précision de suivi inégalable, même avec une faible luminosité. L’optimisation d’image sélectionnable rationalise le traitement de l’image intégré, ce qui permet de gagner du temps lors de la post-production, et un moniteur ACL haute définition de 3 pouces prend en charge deux modes Live view ainsi qu’une sortie vidéo HDMI. Protégé par un boîtier robuste et étanche en alliage de magnésium, le D700 est un reflex numérique parfaitement équilibré pouvant gérer l’inattendu, quel que soit l’endroit où vos photographies vous mènent.

Points forts :

  • Capteur CMOS FX (plein format) 12,1 millions de pixels (plein écran) avec rapport signal/bruit élevé, plage dynamique étendue et unité de nettoyage automatique du capteur intégrée pour éliminer la poussière.
  • 200 – 6400 ISO : étendue jusqu’à 25600 ISO (équivalent) et à partir de 100 ISO (équivalent).
  • Prise de vue en continu de 5 vps (8 vps avec la poignée d’alimentation optionnelle MB-D10 avec accumulateur lithium-ion EN-EL4a ou 8 piles AA).
  • Système de traitement de l’image EXPEED avec conversion analogique/numérique sur 14 bits et traitement de l’image sur 16 bits pour de superbes détails et dégradés.
  • Le système de reconnaissance de scène perfectionnéallie la mesure de l’appareil photo et des capteurs AF pour des expositions précises et des images nettes.
  • Système Multi-CAM3500FX AF 51 points. Réglages de couverture pouvant être sélectionnés et configurés individuellement en 9 points, 21 points et 51 points.
  • L’optimisation d’image rationalise le traitement de l’image intégré en permettant une personnalisation prédéfinie des paramètres de l’image, tels que l’accentuation, le contraste, la luminosité, la teinte et la saturation dans divers modes couleur.
  • Moniteur ACL VGA 3 pouces 920 000 pixels avec large angle de vue de 170 degrés.
  • Le mode Live View avec Autofocus permet la composition d’images en utilisant le moniteur ACL. Les deux modes suivants sont pris en charge : Main levée ou Pied.
  • Le mode recadrage DX peut être activé de manière automatique lorsqu’un objectif format DX est fixé.
  • Déclenchement instantané : environ 40 millisecondes de réponse au déclenchement.
  • Le D-Lighting actif permet de réaliser des images excellentes en cas de contraste important en appliquant automatiquement la correction des tons au moment de la prise de vue.
  • L’interface de sortie vidéo HDMI permet la connexion à des systèmes vidéo haute définition.
  • Ergonomie intuitive avec des commandes placées de manière optimale pour une manipulation rapide et confortable.
  • Boîtier robuste en alliage de magnésium : résistant à l’humidité et étanche à la poussière.
  • Prise en charge réseau sans fil et Ethernet via le système de communication sans fil optionnel WT-4.

Cliché : GLB


Clichés de GLB, fait sur fond gris neutre et traités sur Gimp

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